le 2ième dimanche de l'Avent
Aujourd'hui, je me suis mise à traduire une lettre de Flaubert addressée à Baudelaire. Le langage est assez simple, pourtant j'ai observé quelques petits détails qui rendent la traduction hongroise assez difficile. Déjà le contexte littéraire n'est pas évident, même si ces deux noms sont connus partout en Hongrie. Ensuite, je me demande toujours si Flaubert n'a pris un ton ironique en écrivant cette lettre... C'est pas facile, la traduction littéraire :-)